miércoles, 22 de diciembre de 2010

Le Bestiaire, ou Cortège d’Orphée




Una de las primaras obras de nuestra colección CYDT
fue el magnifico Bestiario del legendario Poeta Guillaume Apollinaire ;
Le Bestiaire, ou Cortège d’Orphée

Si bien el legado es sublime, las imágenes de grabado que componen
esta obra literaria son de un hechura magnánima y que dan fe
de la buena factura de Roul Dufy.

Este blog muestra el trabajo conjunto de dos maestros
de la Escuela de Paris en 1911

Adolfo Cantú E.




Raoul Dufy, né le 3 juin 1877 au Havre et mort le 23 mars 1953 à Forcalquier, est un peintre, dessinateur, graveur, illustrateur de livres, créateur de tissus, céramiste, créateur de tapisseries et de mobilier, décorateur d'intérieur, décorateur d'espaces publics et décorateur de théâtre français.
nfluencé par le fauvisme et en particulier par l’œuvre de Matisse, il travaille avec Friesz, Lecourt et Marquet sur des tableaux de rues pavoisées de drapeaux, de fêtes de village, de plages.


Guillaume Apollinare
Guillaume Apollinaire, de son vrai nom Wilhelm Albert Włodzimierz Apolinary de Wąż-Kostrowicki , né le 26 août 1880 à Rome et mort le 9 novembre 1918 à Paris, est un poète et écrivain français, né polonais, sujet de l'Empire russe.

Il est l'un des plus grands poètes français du début du xxe siècle, auteur notamment du Pont Mirabeau. Il a écrit également quelques nouvelles et romans érotiques. Il pratiquait le calligramme (terme de son invention désignant ses poèmes écrits en forme de dessins et non de forme classique en vers et strophes). Il fut le chantre de toutes les avant-gardes artistiques, notamment le cubisme, poète et théoricien de l'Esprit nouveau, et précurseur du surréalisme dont il a forgé le nom.




Colección de Arte Cantú Y de Teresa

Orphée




Admirez le pouvoir insigne
Et la noblesse de la ligne :
Elle est la voix que la lumière fit entendre
Et dont parle Hermès Trismégiste en son Pimandre.

Disfrute de la insignia
de poder y nobleza de la línea:
Es la voz que se escuchó Y la luz se menciona
en su Pimander Hermes Trismegisto.

La Tortue



Du Thrace magique, ô délire !
Mes doigts sûrs font sonner la lyre.
Les animaux passent aux sons
De ma tortue, de mes chansons.

De la magia Tracia, la locura Oh!
Mis dedos que hacen el sonido de la lira.
Los animales son los sonidos
de mi tortuga, mis canciones.

Le Cheval




Mes durs rêves formels sauront te chevaucher,
Mon destin au char d’or sera ton beau cocher
Qui pour rênes tiendra tendus à frénésie,
Mes vers, les parangons de toute poésie.

Unidades de mis sueños sabes formal se superponen,
Mi destino en su carro de oro será bueno
para ver quién riendas agarró con fuerza al frenesí,
mis versos, los parangones de la poesía.

La Chèvre du Tibet



Les poils de cette chèvre et même
Ceux d’or pour qui prit tant de peine
Jason, ne valent rien au prix
Des cheveux dont je suis épris.

Los pelos de esta cabra e incluso
los que se llevó el oro de
Jason tantos problemas, no es bueno para el precio
de pelo que estoy herido.

Le Serpent



Tu t’acharnes sur la beauté.
Et quelles femmes ont été
Victimes de ta cruauté !
Ève, Euridice, Cléopâtre ;
J’en connais encor trois ou quatre.

tu encanto sobre la belleza.
Y lo que las mujeres han sido
víctimas de su crueldad!
Eva, Euridice, Cleopatra,
sé que tres o cuatro.

Le Chat



Je souhaite dans ma maison :
Une femme ayant sa raison,
Un chat passant parmi les livres,
Des amis en toute saison
Sans lesquels je ne peux pas vivre.

Quiero que en mi casa:
Una mujer con su razón,
Un gato entre los libros que pasa,
los amigos de Sin en cualquier época
del año que no puedo vivir.

Le Lion




Ô lion, malheureuse image
Des rois chus lamentablement,
Tu ne nais maintenant qu’en cage
À Hambourg, chez les Allemands.

O león, la imagen miserable
Chus Reyes miserablemente,
ahora que lo hace la jaula
de nacimiento en Hamburgo en Alemania.

Le Lièvre



Ne soit pas lascif et peureux
Comme le lièvre et l’amoureux.
Mais que toujours ton cerveau soit
La hase pleine qui conçoit.

No tener miedo y lascivo
como la liebre y el amante.
Pero que todavía tu cerebro está
lleno, que diseña la hase.

Le Lapin



Je connais un autre connin
Que tout vivant je voudrais prendre.
Sa garenne est parmi le thym
Des vallons du pays de Tendre.

Conozco otro connin
Lo que quiero tener con vida.
Es uno de sus valles laberinto tomillo
del país de la ternura.

Le Dromadaire



Avec ses quatre dromadaires
Don Pedro d’Alfaroubeira
Courut le monde et l’admira.
Il fit ce que je voudrais faire
Si j’avais quatre dromadaires.

Con sus cuatro dromedarios
Don Pedro Alfaroubeira
Ran el mundo y admirado.
Él hizo lo que haría
si tuviera cuatro dromedarios.

La Souris



Belles journées, souris du temps,
Vous rongez peu à peu ma vie.
Dieu ! Je vais avoir vingt-huit ans,
Et mal vécus, à mon envi

Hermoso día, los ratones del tiempo,
se mordía mi vida.
Dios! Voy a tener veinte y ocho años,
y malas experiencias en mi entorno

L’Éléphant



Comme un éléphant son ivoire,
J’ai en bouche un bien précieux.
Pourpre mort !.. J’achète ma gloire
Au prix des mots mélodieux.

Como el marfil de elefante,
tengo una boca preciosa.
la muerte púrpura! .. Puedo comprar mi gloria
a costa de palabras melodiosas.

Orphée



Regardez cette troupe infecte
Aux mille pattes, au cent yeux :
Rotifères, cirons, insectes
Et microbes plus merveilleux
Que les sept merveilles du monde
Et le palais de Rosemonde !

Ver esta empresa infecta
En milpiés, los cien ojos:
rotíferos, ácaros, insectos
y microbios más maravilloso
que las siete maravillas del mundo
y el palacio de Rosamond!

La Chenille



Le travail mène à la richesse.
Pauvres poètes, travaillons !
La chenille en peinant sans cesse
Devient le riche papillon.

El trabajo conduce a la riqueza.
Pobres poetas, el trabajo!
Las orugas de la mariposa se convierte
en una lucha constante ricos.

La Mouche




Nos mouches savent des chansons
Que leur apprirent en Norvège
Les mouches ganiques qui sont
Les divinités de la neige.

Nuestra moscas saber qué canciones
que aprendieron en las moscas Noruega
las moscas ganiques que son
orgánicos son deidades de la nieve.

La Puce




Puces, amis, amantes même,
Qu’ils sont cruels ceux qui nous aiment !
Tout notre sang coule pour eux.
Les bien-aimés sont malheureux.

Balas, amigos, amantes,
incluso, son gente cruel que nos aman!
Toda nuestra sangre que fluye a ellos.
El amado es infeliz.

La Sauterelle



Voici la fine sauterelle,
La nourriture de saint Jean.
Puissent mes vers être comme elle,
Le régal des meilleures gens.

Aquí está el saltamontes bien,
La comida de San Juan.
Que mis poemas ser como ella,
la fiesta de la mejor gente.

Orphée



Que ton cœur soit l’appât et le ciel, la piscine !
Car, pécheur, quel poisson d’eau douce ou bien marine
Égale-t-il, et par la forme et la saveur,
Ce beau poisson divin qu’est JÉSUS, Mon Sauveur ?

Deja que tu corazón sea el cebo y el cielo, la piscina!
Porque, pecador, ¿qué peces de agua dulce o marinos
Egale allí, y por la forma y sabor,
este divino hermoso pez en Jesús, mi Salvador?

Le Dauphin




Dauphins, vous jouez dans la mer,
Mais le flot est toujours amer.
Parfois, ma joie éclate-t-elle ?
La vie est encore cruelle

Delfines jugando en el mar,
pero el flujo es siempre amargo.
A veces, mi alegría se rompió?
La vida sigue siendo cruel

Le Poulpe



Jetant son encre vers les cieux,
Suçant le sang de ce qu’il aime
Et le trouvant délicieux,
Ce monstre inhumain, c’est moi-même.

Lanzando su tinta a los cielos
de chupar la sangre de lo que él ama
y resulta delicioso,
este monstruo inhumano, es a mí mismo.

La Méduse



Méduses, malheureuses têtes
Aux chevelures violettes
Vous vous plaisez dans les tempêtes,
Et je m’y plais comme vous faites.

Medusas, miserables cabezas
con el pelo morado
Usted está disfrutando de la tormenta,
Y me gusta como lo hace.

L’Écrevisse



Incertitude, ô mes délices
Vous et moi nous nous en allons
Comme s’en vont les écrevisses,
À reculons, à reculons.

La incertidumbre, oh mi alegría
Tú y yo vamos a ir
como el cangrejo,
hacia atrás, hacia atrás.

martes, 21 de diciembre de 2010

La Carpe




Dans vos viviers, dans vos étangs,
Carpes, que vous vivez longtemps !
Est-ce que la mort vous oublie,
Poissons de la mélancolie.

En sus tanques en los estanques,
la carpa, a vivir más tiempo!
No se olvida de la muerte,
Peces de la melancolía.

Orphée



La femelle de l’alcyon,
L’Amour, les volantes Sirènes,
Savent de mortelles chansons
Dangereuses et inhumaines.
N’oyez pas ces oiseaux maudits,
Mais les Anges du paradis.

La hembra del felices,
el amor, las sirenas de ventanas, canciones
mortal para saber peligrosas e inhumanas.
no serian estas aves no malditos,
pero los ángeles del paraíso

Les Sirènes




Saché-je d’où provient, Sirènes, votre ennui
Quand vous vous lamentez, au large, dans la nuit ?
Mer, je suis comme toi, plein de voix machinées
Et mes vaisseaux chantants se nomment les années.

Sache que partir de la cual, sirenas,
su aburrimiento cuando te quejas, fuera, en la noche?
Mar, yo soy como tú, lleno de voces
y mis barcos diseñados cantando llamada de los años.

La Colombe




Colombe, l’amour et l’esprit
Qui engendrâtes Jésus-Christ,
Comme vous j’aime une Marie.
Qu’avec elle je me marie.


Paloma, el amor y el espíritu
Quién engendrâtes Jesucristo,
lo que te gusta de la Virgen María.
Me voy a casar con ella.

Le Paon




En faisant la roue, cet oiseau,
Dont le pennage traîne à terre,
Apparaît encore plus beau,
Mais se découvre le derrière.


Al hacer la rueda, esta ave,
piñones quién arrastra en el suelo,
es aún más hermoso,
pero es descubierto por detrás.

Le Hibou



Mon pauvre cœur est un hibou
Qu’on cloue, qu’on décloue, qu’on recloue.
De sang, d’ardeur, il est à bout.
Tous ceux qui m’aiment, je les loue.

Mi pobre corazón es un búho
que se clava, nos desclava, que recloue.
La sangre, el celo, que se ha agotado.
Todos los que me aman, te alabo.

Ibis



Oui, j’irai dans l’ombre terreuse
Ô mort certaine, ainsi soit-il !
Latin mortel, parole affreuse,
Ibis, oiseau des bords du Nil.


Sí, voy a ir en la oscuridad terrenal
muerte segura Ô, que así sea! Palabra
latina mortal, terrible, Ibis, ave del Nilo.

Le Bœuf




Ce chérubin dit la louange
Du paradis, où, près des anges,
Nous revivrons, mes chers amis,
Quand le bon Dieu l’aura permis.

Este querubín, dijo en alabanza
de los cielos, donde, cerca de los ángeles,
vamos a vivir de nuevo, mis queridos amigos,
cuando el buen Dios lo permita.

Directorio CYDT





Fundación Bo Art
European & LatinoamericanArt Works of Art
CONTACTS
Adolfo Cantú Senior Vice President
 Fundacion BoArt
CYDT Colección de Arte Cantú y de Teresa
Adolfo Cantú & Maria Elena de Teresa
Senior CYDT Worldwide Specialist
Mexican Works of Art &
CYDT Colección de Arte
Cantú Y de Teresa









Guillaume Apollinaire fue el seudónimo del poeta, novelista y ensayista francés Wilhelm Apollinaire de Kostrowitsky (Roma, 26 de agosto de 1880 – París, 9 de noviembre de 1918).